J'Ecris Lol. Allez v'nez tous !

Depuis peu de temps, je me surprend à écrire...Vous me donner votre avis ?
Cette histoire là, c'est pas la vraie, vu que je ne le fais que pour m'entraîner, et que ce sujet ne m'a passionné qu'un temps !

TadaAaam
[ Chi vous plaît, lisez touwt ! ]

Deux ombres se dessinaient dans la clarté dorée du soleil couchant. L’une d’elle, aux formes humaines, s’assit au bord de la falaise, près des champs à la glaise noire et luisante. L’autre, équine, trotta d’un pas sûr et assuré. Lorsque les claquements sonores des sabots contre la roche s’arrêtèrent, la jeune fille se leva et enfouit son visage dans l’épaisse crinière de sa jument. Oh, c’était si beau de pouvoir appeler cette petite pur-sang arabe à la robe blanche tacheté vaguement, ici et là, d’un brun chocolat, son cheval.
Elle ne pouvait pourtant éterniser ses moments inséparables dans l’endroit où elle était née, elle, et plus-tard, sa jument. Les préparatifs n’étaient pas encore terminés, et l’on ne pouvait pas rater le guide qui emmenait un convoi de douze chariots, dont plusieurs familles nombreuses, pour leur long voyage pour l’Amérique.
Ou plutôt, pour l’Or...
Tout avait commencé depuis cette satanée lettre de son oncle immigré il y a maintenant cinq printemps, là-bas, qui prétendait avoir acheté un terrain où l’on avait trouvé une certaine fortune.
Sa lettre reflétait un état d’extase et de folie que Julie ne lui avait jamais connu auparavant.
Mais il n’était pas le seul, et les Ramsay, les Belleville, et bien d’autre de leur voisins avaient entendu parler de cette fièvre ardente, cette passion dévorante qui n’était autre que l’Or. Pour cette raison, une foule de familles, alertées, allaient faire fortune, et ses parents avaient décidé de ne pas rester en Europe.
La jument lui souffla dans l’avant-bras, et Julie fut tirée de cette songerie.
La petite ferme entourée de quelques plantations où travaillaient encore quelques fermiers, fatigués, mais heureux en attendant les récoltes qui se voulaient prometteuses, s’étendait à ses pieds.
Dur, dur de se détacher de ses terres magiques, où chaque promenade, chaque jour, était un nouveau plaisir, un nouveau lien qui formait l’attachement de Julie pour elles, et qui l’empêchait de s’en aller, sans dire un ultime adieu à son pays natal, celui où elle avait rencontré sa jument.
Ses parents l’avaient prévenu, ils possédaient trois chariots, et le guide n’avait fait que renforcer leur crainte, car sur le chemin se trouvait un immense lac à traverser, principal obstacle à franchir.
Seulement voilà, le problème, était tout autre.
Son étalon noir, voilà le problème.
Elle l’avait adopté en secret, et maintenant, à l’âge mur de trois ans, il n’avait pas encore été monté, ni même débourré.
Ses parents n’opposaient aucune résistance à emmener de plus avec eux un cheval de plus ou de moins, mais si ce dernier refusait de traverser le lac, attaché seulement par une longe au chariot que Julie s’était promis de conduire, il serait lâché, libre.
Mais, puisqu’il n’y avait aucun espoir de le garder, n’était-ce pas mieux de le libérer ici, dans ces terres féériques ?
Julie cependant se sentait égoïste et pourtant entêtée. Jamais plus que ce jour là elle n’avait sentie la bataille des deux êtres qui nous gouvernent, l’un prenant un court instant le dessus sur l’autre…
Fallait-il tenter le tout pour le tout ?
Où au contraire lui dire un dernier adieu tout de suite ?
Le soleil maintenant fondait comme un sucre en une douce lumière orangée.
Elle ne savait pourtant...
Julie vit une ombre d’un noir profond foncer vers la porte clôturée du pré où Roses Noires broutait quelques instants avant tranquillement, et sauter les barbelés.
Elle avait remarqué pourtant qu’il s’agitait dans son pré, pourtant, perdue dans ses pensées, elle ne s’était point aperçue que ça n’allait pas.
Julie esquissa un rapide mouvement et monta à cru sur le dos de sa jolie jument. Elle l’encouragea de la voix, et aussitôt celle-ci détala par un petit sentier abrupt qu’elle avait déniché qui permettait de passer par la falaise sans être obligée de faire un trop grand détour.
La descente ne dura pas trop longtemps, pourtant Julie la trouvait beaucoup trop lente.
Son cœur battait la chamade et elle ne cessait de se demander pourquoi il était partit.
Le pré était-il trop étroit ?
Quelqu’un l’avait-il effrayé ?
S’était-il blessé ?
Elle en arrivait jusqu’aux pires des suppositions.
Une fois arrivées en bas, elle intima l’ordre à sa jument de galoper, et eut un certain mal à garder son assiette, car sans les rênes et la selle de Promesse il était très difficile de la diriger.
Enfin, cette dernière s’arrêta et entreprit d’aller brouter près de Roses Noires.
Julie s’empressa de descendre pour ausculter Promesse, au  où elle se serait blessée, se sentant soudain coupable de la course folle qu’elle lui avait fait subir au milieu des rochers, puis vérifia par mesure de sécurité si Roses Noires n’avait accroché aucun barbelé.
Julie soupira de soulagement.
Non, elle ne pourrait le laisser même une seconde seul sans s’en inquiéter.
Même aussi riche qu’elle aurait pût l’être, elle vivrait toujours dans le regret.
Mieux valait ne pas penser au reste.
Julie enfourcha cette fois Roses Noires pour ne pas trop fatiguer Promesse.
Une fois arrivée à l’enclos, elle répugna à le laisser seul. Lui donnant une petite tape amicale elle pensa que ses parents avaient raison, elle le cajolait trop, mais ne pouvait s’en empêcher.
Julie le mit prépara un box à son intention, le couvrant d’une fraiche litière. Roses Noires ne broncha pas devant ce changement de liberté.
Julie sentait pourtant qu’avec une autre personne il n’aurait pas tardé à manifester son mécontentement. Mais l’étalon ne bougeait pas, gardant une posture de statue qui ne lui était pas familière. La jeune fille décida d’œuvrer pour obtenir l’accord de ses parents pour dormir dans l’écurie. Elle désirait plus que tout passer cette dernière nuit dans son endroit préféré.
Enfin, elle se décida à entrer dans la cuisine. Cette pièce lui paraissait si in familière, tout à coup, sans le désordre qui y régnait d’habitude.
Julie eu quelques difficultés à se mouvoir entre les malles. Elle appela sa mère d’une voix morne.
-Maman, je pourrais passer la nuit dans un box ?
Elle évita de préciser dans le box de quel cheval elle allait dormir, ne voulant pas réveiller la discision fatale qu’il faudrait affronter demain. La jeune fille essaya d’envoyer la pensée de se séparer de son poulain ailleurs dans son esprit.
-Bien sûr, ma chérie, mais vas d’abord vérifier que je n’ai rien oublié pour ta valise, et n’oublie pas d’emmener ton réveil, demain il faudra se lever tôt !
Les paroles de sa mère la tirèrent de son songe éveillé.
-D’accord.
A vrai dire, sa mère avait oublié énormément de choses. Les mèches de la crinière de Princesse, par exemple, la mère de Roses Noires.
« Princesse Kitty…Tu serais fière de ton fils… » Pensa Julie.
Puis elle se dit qu’elle avait omis de vérifier son fourrage, tellement absorbée par son poulain.
Julie prépara son sac de couchage, son réveil qu’elle régla pour quatre heures.
A cette heure matinale, il faudra choisir. Mais le choix de Julie était déjà fait. Si Roses’ ne traverserait pas, il trouverait seul le moyen de revenir. Elle repensa à Princesse, bien que déjà sevré depuis longtemps, son poulain pourrait être rassuré par sa mère, sans oublier Promesse, son éternelle compagne de jeux et d’amusement.
Julie fut saluée par quelques hennissements brefs de bienvenue. Elle caressa au passage Princesse, la jument de son père, et effleura des doigts les naseaux veloutés d’Ebène, celle de sa mère.
Puis installa sa couchette dans un box vide, près de celui de Roses Noires. De sorte qu’au moindre frottement de sabots elle pourrait s’assurer que tout irait bien.
Elle dormit une ou deux heures, puis se releva, emplie de frisson
Apercevant son reflet dans la porte de la sellerie, elle eut une très mauvaise surprise : Ses cheveux d’un roux étincelant n’ondulaient plus sur ses épaules, mais été couverts de paille, en broussailles.
Puis elle vit autre chose que son ombre floue sur la porte de vers. Une autre ombre glissait vers l’écurie. Elle se retourna dans d’immenses efforts de ne faire aucun bruit, pour ne pas effrayer l’étalon solitaire. Il arrivait parfois qu’il s’en présenta, mais cette visite était si singulière, la nuit où il devait partir.
Cependant, l’étalon allait beaucoup trop loin. Les troupeaux de chevaux sauvages n’entraient pas aussi profondément dans le ranch. Ce ne pouvait pas être un cheval de selle, vu les traces de sabots non-ferrés que Julie vit à l’endroit où elle l’avait aperçut sur le miroir. Ses yeux scrutaient les ténèbres, quand elle revit la forme dans l’écurie. Ce devait être un de ses étalons solitaires qui errent avec l’espoir de trouver des juments…Ou dans voler aux ranchs.
Mais Julie ne se faisait pas de soucis, elle était seulement troublée par cette dernière visite que l’étalon semblait leur portait. Pourquoi entrait-il si profondément ?
Julie entendit des bruits de sabots qui s’entrechoquent, et sentit presque la chaleur tiède des naseaux qui saluaient l’étalon.
Enfin, la lune se dégagea d’un nuage qui l’avait enveloppé un bon moment. Un des rayons vint faire miroiter la robe grise de l’étalon solitaire. Julie s’approcha silencieusement, mais il n’aurait surement pas peur d’elle, s’il osait donc s’aventurer si loin dans un territoire qu’il devrait normalement éviter.
L’étalon n’avait aucun espoir de franchir la barrière, comme il l’aurait fait si les juments se trouvaient dans le près, faute du bois solide qui constituait les box.
Peu après, Julie entendit plus qu’elle ne vit l’étalon essayer de transpercer le box de Princesse, mais ce ne fut que grognement de mécontentement. Alors, sentant surement que la partie était perdue d’avance, dans un hennissement de rage, l’étalon détala dans un galop effréné, la bousculant sans peut-être même s’en rendre compte, et aplatissant le bras de la jeune fille contre la porte par son poids.
Julie voulut hurler mais la douleur l’en empêcha. Puis la raison aussi. Ses parents, s’ils avaient entendu son cris, seraient accourus, et, craignant pour sa sécurité, l’enfermerait et empêcheraient tous ses projets pour emmener Roses Noires.
Julie soupira.
« Quel est donc cet étalon d’argent ? Je n’aurais surement plus l’occasion de le savoir. »

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[ S U I T E P E U T E T R E P L U S T A R D
Mais, bref, VOUS N'AVEZ EN AUCUN CAS LE DROIT DE PRENDRE MON TEXTE !
Vous voulez que je vous écrive l'histoire, pour votre présent', ou autre, postez ici, mais ne touchez pas à mon texte (c)]

cros bien...
mais c'est quand la suite ???

J'verrai
Mais j'pense écrire autre chose que ça, j'veux faire un truc qui parle plus de l'actuel !

Invité

J'aime bien

Vous êtes gentils

MY DERIEN

Invité

Desoler , mais deja a lire le debut je n'aime pas Rolling Eyes

Mais on a le droit de ne pas aimer , mais sinon cela peut être jolie

Incconu(e) Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 19/06/2007

déso' la flème de lire plus tard drunken

!

C'est pas grave, mais si vous lisez, donnez moi quelques commentaires constructifs !
Moi non plus, je n'aime pas vraimment, j'avais écris cela quand j'étais dans une période 'la conquêtte de l'ouest sauvage', enfait je vennais de lire toute la série Katy et le cheval Sauvage, et ça me faisait tellement vibrer par la tristesse du roman que j'ai voulu essayé..
Bref, je préfère faire un roman sur un thème plus..Actuel on dira.Abus des enfants, les jeunes qui s'eclatent la figure pour le plaisir, le terrorisme, la pauvreté...Lol

Invité

Je te comprend , mais desolé ça ne me plait pas.
Mais cela ne veut pas dire que je n'aime pas se que tu fais , non au contraire c'est juste que celui la ne me plait pas.